Blog de Jean-Luc Crucke
Député wallon et communautaire, Bourgmestre de Frasnes-lez-Anvaing, Président de la Commission de L'Enseignement du Parlement de la Communauté française
lundi 30 novembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
Société de Logement "La Chappeloise": Suite du dossier
Trouvez-vous normal que des administrateurs de Société de logements sociaux soient locataires dans leur société et bénéficient du plafonnement de leur loyer alors qu'ils ont de confortables salaires ? Moi, non ! Le Ministre Nollet non plus.
D'ailleurs, ces administrateurs ont été amenés à donner leur démission.
Trouvez-vous normal que ces personnes remboursent à la Société la différence de loyers dont -ils ont indûment bénéficié durant des années. Moi, Oui ! Et le Ministre Nollet ? Je lui ai posé la question ce mardi 24 novembre en Commission et sa réponse m'a déçu...
Libellés : jean-luc crucke, Jean-Marc Nollet, La Chapelloise
mercredi 25 novembre 2009
Herman Van Rompuy était ce 24 novembre à Anvaing pour sa dernière intervention publique en tant que Premier Ministre
Décidement,Anvaing a un petit côté "place to be". Après le Maréchal Foch en 1914-18, la reine Paola en 2006, Yves Leterme en 2008, c'était hier le futur Premier Président du Conseil européen, Herman Van Rompuy qui posait le pied à Anvaing pour sa dernière intervention publique en tant que Premier Ministre.
C'est ce matin en effet que Herman Van Rompuy remettra sa démission au Roi avant de se consacrer entièrement à l'Europe.
300 citoyens, petits et grands avaient fait le déplacement dans la salle de l'athénée pour entendre ce qui fût en quelque sorte le testament politique d'Herman Van Rompuy.
Un grand moment, empreint de simplicité mais aussi d'émotion.
Le Premier Ministre répondait ainsi à une invitation de Jean-Luc Crucke, député-bourgmestre de Frasnes-lez-Anvaing dans le cadre des "Grandes conférences" de l'école communale d'immersion. Tout un symbole...
>>>> Ecouter la séquence RTBF de Thomas Rorive: ICI
>>>>lire: Actu 24: Van Rompuy: le dernier acte en Wallonie:ICI
>>>> Voir séquence RTLtvi 25 nov:ICI
>>> Voir l'intégrale de la Conférence, "les Défis pour la Belgique de demain" via le site de No Télé Ici
Libellés : Anvaing, Chat Jean-Luc Crucke, Herman Van Rompuy
Dernière intervention d'Herman Van Rompuy en tant que Premier ministre belge
>>> Voir l'intégrale de la conférence d'Herman Van Rompuy sur "Les défis pour la Belgique de demain" via le site de No Télé: ICI
Libellés : Anvaing, Crucke, Europe, Herman Van Rompuy
Pourquoi Herman Van Rompuy a-t-il choisi Frasnes-lez-Anvaing ?
Discours introductif du député Jean-Luc Crucke lors de la venue d'Herman Van Rompuy. Interview du Premier Ministre.
Libellés : Chat Jean-Luc Crucke, Europe, Herman Van Rompuy
Suivi du dossier de la société de logement « la Chapelloise »
« Je pensais le temps des privilèges révolu : je suis déçu ! »
C'est en ces termes que Jean-Luc Crucke a commenté la réponse que lui a faite le Ministre Jean-Marc Nollet en Commission du Logement du Parlement wallon concernant le suivi réservé au dossier des administrateurs-locataires à la « Ruche chapelloise ».
Dans la réponse qu'il apporte au député libéral, le Ministre confirme bien « que certains ont indument bénéficié de la limitation de leur loyer à la valeur locative normale alors que le montant de leur revenus aurait dû conduire la Sisp à calculer leur loyer sans tenir compte de ce plafond.»
En revanche, sa réponse ne fait nulle part allusion à une quelconque obligation de remboursement. Le Ministre se contente de faire remarquer que « ce genre de pratique était courante dans le secteur » et annonce le déplafonnement pour l'ensemble des locataires de la Société wallonne du Logement qui remplissent les conditions dès le premier Janvier 2010.
Compte tenu des circonstances, précise encore Jean-Marc Nollet, « il me semblerait indélicat de réclamer un prétendu arriéré de loyer à l'ensemble des locataires wallons qui auraient pu être concernés par le déplafonnement , alors que ceux-ci se sont , de bonne foi, acquittés du montant figurant sur la fiche de calcul du loyer que leur a adressé leur société de logement à l'époque. »
Si Jean-Luc Crucke veut bien parler de « bonne foi » à propos les locataires lambda, il ne saurait en être question pour les administrateurs-locataires qui sont censés gérer ces sociétés de logements sociaux selon des critères qu'ils doivent connaître par cœur.
« Ce qu'ils n'ont pas payé, ce sont d'autres citoyens qui l'ont payé à leur place » commente le député. « Il y a là une injustice dont les mandataires- en l'occurrence ici, socialistes - bénéficieraient sous prétexte qu'ils étaient de bonne foi. Si on laisse ces gens impunément dans la situation qui est la leur, cela signifie que l'on leur a laissé jouer un bon coup à la société, c'est-à-dire aux contribuables qui paient honnêtement leurs impôts. C'est ce qu'on appelle « des privilèges » et je pensais que le temps des privilèges devait être irrémédiablement révolu ! »
Libellés : La Chappeloise
vendredi 20 novembre 2009
Jean-Luc Crucke a propos de la désignation d'Herman Van Rompuy à la Présidence du Conseil de l'Union européenne
Libellés : Conseil de l'Union européenne, Crucke, Europe, Herman Van Rompuy
jeudi 19 novembre 2009
Le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy sera à Frasnes-lez-Anvaing ce 24 novembre.
Herman Van Rompuy, futur premier Président du Conseil Européen sera ce mardi 24 Novembre à Frasnes-lez-Anvaing, invité par Jean-Luc Crucke dans le cadre des Conférences organisées chaque année par l'Ecole communale d'immersion. Il y parlera des "Défis pour la Belgique de demain".
Invitation à tous !
Merci de confirmer votre présence au 069 87 16 43
ou à l'adresse suivante secretariatcommunal@frasnes-lez-anvaing.be
Libellés : Crucke, Frasnes-lez-Anvaing, Herman Van Rompuy
Excelsior de Mouscron: Le député Jean-Luc Crucke à moitié satisfait par la réponse que lui a apportée le Ministre Antoine en Commission du Parlement
La Communauté française est prête à intervenir en faveur du Futurosport, centre de formation de jeunes sportifs de l'Excel, afin d'éviter que cette infrastructure qui accueille près de 600 jeunes puisse poursuivre ses activités, a indiqué le ministre des Sports, André Antoine, en réponse à une question d'actualité de Jean-Luc Crucke (MR). Le montant de cette intervention s'élèverait à 300.000 euros.
André Antoine s'est en revanche montré plus réservé sur une intervention en faveur du club. S'il devait intervenir pour l'Excelsior de Mouscron, il risque de voir se manifester d'autres clubs qui ont des difficultés financières ou qui voudraient se développer, a-t-il expliqué.
Jean-Luc Crucke s'est dit "à moitié satisafait par la réponse que lui a apportée le Ministre des Sports.
Satisfait parce que la formation footbalistique des jeunes sportifs qui fréquentent le centre de Mouscron semble pérennisée. "En cela il anticipe et répond à une question que je comptais lui poser devant le Parlement de la Communauté française. " commente Jean-Luc Crucke.
"Déçu parce qu'il ne répond pas à la problématique liée à la Region wallonne. La question posée devant le Parlement wallon dépasse largement le cadre strict de Mouscron. Elle concerne tous les clubs de football du Hainaut occidental qui rencontrent des difficultés similaires."
Autrement dit, ce qui est vrai pour Mouscron l'est aussi pour une multitude d'autres clubs. Jean-Luc Crucke insiste pour que l'on ne sous-estime pas la portée de ce dossier. " Le foot en Wallonie picarde connaît une multitudes de difficultés (Raréfaction des bénévoles, manque de fonds pour payer les entraineurs, Difficulté d' entretenir les terrains, violence en bord de terrain, ...).
Cette large problématique mérite mieux qu'un saupoudrage de quelque centaines de milliers d'euros. Ils méritent un large débat et des solutions globales. Il mérite au moins que l'on convie l'ensemble des responsables de football de Wallonie picarde autour d'une table afin de dégager des solutions globales et durables. "Or, ce qui touche aux stades et aux infrastructures relève de la Région - rappelle le député. "C'est donc bien à la Région qu'il faudrait mettre l'ensemble des responsables du foot en Hainaut autour de la table afin de dégager une solution."
Et le député de conclure: "L'Excelsior est l'étoile du football du Hainaut occidental et on est plus fort quand on marque à deux."
Le Fonds de solidarité des voyages scolaires aux oubliettes
Le 28 août 2008, à l'issue d'une réunion conjointe des Gouvernements de la Communauté française et de la Région Wallonne, 12 mesures pour soulager le pouvoir d'achat des Wallons et Bruxellois étaient annoncées.
L'une de celles-ci visait la création d'un fonds de solidarité pour diminuer le coût des voyages scolaires afin d'aider les écoles à organiser les voyages et, surtout, à permettre à TOUS les enfants d'y participer. Se rappelant des annonces faites par l'ex-Ministre de l'Eduction Marie Arena (PS) sur l'organisation des voyages scolaires sous la précédente législature (un quota de participants pour le maintien de ces voyages), on ne pouvait que se réjouir de cette mesure… En effet, ce fonds devait permettre d'intervenir jusqu'à 100 euros pour les familles les plus en difficultés.
Inquiet de ne toujours rien voir venir, le député MR et Président de la Commission de l'Education Jean-Luc CRUCKE a interpellé la Ministre Marie-Dominique Simonet (cdH) : « Nonobstant les annonces suscitées, ce Fonds n'a toujours pas vu le jour à l'heure actuelle. Qu'en est-il ? Le projet est-il abandonné et classé aux oubliettes ? Le cas échéant, quelles sont les raisons de ce retard totalement anormal ? La lutte pour le pouvoir d'achat n'est-elle plus une priorité du gouvernement ? Les écoles devront-elles sacrifier les projets pédagogiques liés aux classes de dépaysement ? »
La réponse de la Ministre fut brève, mais limpide : « Le Gouvernement de la Communauté française doit renoncer à financer cette mesure ».
En ces temps de crise où l'une des priorités est de sauvegarder le pouvoir d'achat des Wallons et Bruxellois, le MR prend acte, mais ne peut que constater que c'était pourtant là une promesse électorale faite alors que les perspectives budgétaires étaient connues.
Libellés : Crucke, Voyage scolaire
mardi 17 novembre 2009
apprentissage de la lecture: en français ou en Neerlandais
Question de M. Jean-Luc Crucke à Mme Marie-Dominique Simonet, ministre
de l’Enseignement obligatoire et de promotion sociale, intitulée « Apprentissage
de la culture dans la langue cible en immersion »
M. Jean-Luc Crucke (MR).
– Une étude de Mme Charlotte Vandersmissen, linguiste à la VUB, démontre de manière claire et précise que la pédagogie d’enseignement en immersion est nettement plus performante chez les élèves pour qui l’apprentissage de la lecture s’effectue dans la langue cible et qui transfèrent ensuite leurs connaissances vers la langue maternelle. Cette étude valide les propos du professeur Braun de l’Université de Mons voici quelques années. À l’occasion d’une expérience menée dans ma commune, il avait en effet affirmé qu’il fallait choisir une langue plus accessible, comme le néerlandais, pour apprendre l’écriture et que le transfert se ferait très naturellement vers une langue plus complexe comme le français. À l’époque, il s’est heurté à certaines réticences de la part des parents.
Avez-vous pris connaissance de cette étude, madame la ministre ?
Disposez-vous d’autres informations corroborant la thèse de Mme Vandersmissen qui, contrairement à l’inspection générale, dit énormément de bien de l’immersion ? Elle établit en effet une comparaison entre la Flandre et la Communauté
française, et souligne l’utilité du choix de notre communauté. Quelle analyse faites-vous de cette étude ?
Enfin, pouvez-vous nous indiquer le pourcentage d’écoles ayant fait ce choix pédagogique ?
Mme Marie-Dominique Simonet, ministre de l’Enseignement obligatoire et de promotion sociale.
– L’étude à laquelle vous faites allusion, monsieur le député, a été réalisée dans une école wallonne pratiquant l’enseignement en immersion.
Il s’agit d’un mémoire de fin d’études. Ce n’est donc pas une thèse.
Mme Vandersmissen, étudiante en linguistique, a comparé les résultats des élèves francophones qui apprennent à lire en néerlandais et ceux des enfants qui apprennent à lire en français.
Il en ressort que les élèves francophones apprenant à lire d’abord en néerlandais maîtriseraient la lecture mieux que ceux qui commencent l’apprentissage
en français.
Ces résultats sont en effet en phase avec une thèse élaborée par son professeur et maître de mémoire, M. Piet Van de Craen de la VUB, qui insiste sur les avantages de l’apprentissage précoce des langues pour l’évolution du cerveau de l’enfant,
ce qui est un autre débat, certes fort intéressant.
Cependant, il faut bien définir ce que l’on entend par « bon lecteur ». Le fait de « savoir lire » ne se limite pas au décodage des mots, comme l’indique d’ailleurs Mme Vandersmissen dans son étude. Elle n’a pris en considération que des enfants
débutants. L’étude se focalise donc sur le stade du décodage, où l’on apprend à reconnaître les lettres et les phonèmes, et à retrouver les mots.
C’est évidemment important mais l’apprentissage de la lecture va bien plus loin. Il faut savoir décoderet reproduire les sons et les mots, mais également
comprendre et reproduire ce qui a été lu.
Pour dire d’un élève qu’il sait lire, qu’il est un bon lecteur, il faut qu’il soit capable de décoder, d’interpréter,d’intégrer, de reconstruire oralement ou
par écrit le texte qui vient d’être lu.
La lecture est un mécanisme complexe et il ne faut pas se limiter à en détailler un seul aspect. En effet, cet apprentissage s’effectue selon trois axes :
le cerveau, la pensée, le langage.
Le premier, le cerveau, permet à l’apprenant de décoder le message.
À ce niveau, les conclusions de Mme Vandersmissen rejoignent les thèses du professeur Piet Van de Craen. Ce dernier affirme en effet que leslangues comme le français et l’anglais sont plusdifficiles à décoder que le néerlandais ou l’espagnol.
Il explique qu’en néerlandais, il y a moins de différences entre ce qui est entendu et ce qui est écrit. Le son « o » s’écrira toujours « o » ennéerlandais, alors qu’en français, il peut égalements’écrire « au » ou « eau ».
Tout enfant peut donc décoder des symboles simples et les reproduire d’une manière systématique.
En français, cette opération s’avère plus difficile car il faut associer des lettres pour former des phonèmes qui s’écrivent différemment alors qu’ils se prononcent d’une manière identique. Par exemple, le son « fe » peut s’écrire f ou ph comme
dans « phare » ou « phoque ». Le son « gne » s’écrit gn dans « mignon » ou ni dans « niais ».
Chacun d’entre nous se souvient des leçons de vocabulaire où il fallait trouver des homonymes,c’est-à-dire des mots qui se prononcent de la même manière mais qui s’écrivent différemment et qui ont un sens différent. Je prends un exemple au
hasard : sot, saut, seau, sceau. C’est là une autre complexité dans l’apprentissage d’une langue.
Ces cas parmi d’autres sont une des preuves que l’apprentissage de la lecture dans la langue maternelle n’est pas non plus dépourvue de sens, bien qu’il soit parfois plus facile dans la langue cible au début.
Un bon lecteur n’est pas celui qui sait dire tout haut ce qu’il lit mais bien celui qui en comprend la signification. Les universités se plaignent que certains
étudiants ne maîtrisent pas suffisamment finement leur langue maternelle.
L’axe de la pensée entre aussi en jeu. Si l’élève ne comprend pas la différence de signification des homonymes, comment pourrait-il écrire un mot
correctement dans son contexte ? La maîtrise orale de la langue maternelle donne alors un moyen supplémentaire à l’apprenant pour surmonter la difficulté.
La langue maternelle peut également faciliter la communication entre l’enseignant et l’apprenant puisqu’ils ont le même code oral.
Les pédagogues sont unanimes à constater qu’un élève qui maîtrise bien sa langue maternelle apprend plus facilement d’autres langues. Par ailleurs, un élève qui possède un bagage lexical riche lit et écrit plus aisément que celui dont le
vocabulaire est limité. La stimulation du cerveau, par la langue maternelle, par l’oral, par l’écrit ou par une autre langue, est également importante.
Il n’est pas simple de s’y retrouver parmi les différentes thèses. Je fais donc confiance aux équipes éducatives quant au choix de la méthode utilisée pour l’apprentissage de la lecture.
Je ne pense pas qu’une méthode soit particulièrement privilégiée. Certains enseignants adaptent la méthode aux besoins des élèves. Nous devons
rendre hommage aux équipes pédagogiques qui ont à coeur de mener leurs élèves le plus loin possible.
J’imagine que votre propos ne visait pas à faire commencer l’apprentissage de la lecture en néerlandais partout en Communauté française. Je n’ose penser aux conséquences que cela pourrait avoir ! Il était cependant intéressant de pouvoir
comparer les options.
L’apprentissage de la lecture ne se limite pas à des définitions linéaires ou à des expériences isolées. Monsieur Crucke, l’étude que vous mentionnez
porte sur un nombre assez réduit d’enfants puisqu’il s’agit d’une classe. Les conclusions sont intéressantes mais l’échantillonnage est un
peu restreint.
L’inspection s’est penchée sur l’immersion. Sur les 3 078 implantations que compte la Communauté française, 152 pratiquent l’apprentissage en immersion. L’inspection ne les a pas toutes visitées.
Elle en a ciblé un certain nombre, comme elle le fait pour d’autres matières, que ce soit les mathématiques, les sciences ou le français. Elle a
constaté qu’environ quarante-cinq pour cent des écoles abordent l’apprentissage de la lecture en première année dans la langue ciblée. Les avis sont donc partagés : c’est presque moitié-moitié, moitié pour l’apprentissage immédiat dans la langue
ciblée, moitié pour l’apprentissage en français et
immersion par ailleurs.
Nous sommes au coeur de la liberté de choix pédagogique du pouvoir organisateur. L’adhésion de l’équipe éducative chargée d’assurer la continuité à travers tous les cycles est évidemment indispensable pour que les objectifs soient atteints.
Ce choix pédagogique est d’ailleurs prévu par le décret du 11 mai 2007. Un comité d’accompagnement est chargé de la mise en place et du suivi
du projet d’immersion. Il peut évidemment en débattre et choisir toute méthode lui paraissant la plus appropriée.
M. Jean-Luc Crucke (MR). – Je remercie sincèrement
la ministre pour sa réponse. Le professeur Piet Van De Craen n’est pas le
seul à défendre cette théorie, même s’il ne faut pas généraliser. Je retiens qu’il est possible de stimuler le cerveau, quelle que soit la pédagogie retenue,
ce qui a nécessairement un impact positif sur le potentiel intrinsèque de l’enfant. Or un des buts de l’enseignement est précisément d’aider l’enfant
à sortir de sa coquille pour le mener le plus loin possible.
Il est scientifiquement prouvé que l’apprentissage d’une langue est d’autant plus facile qu’il est précoce. Cependant, les professeurs Vandersmissen,
Braun et Van De Craen sont d’avis que les enfants ayant acquis une certaine maturité sont capables d’effectuer plus rapidement le transfert vers leur langue maternelle. Il s’agit d’un élément dont il faut tenir compte. En tout cas, le débat est ouvert.
Il revient à la ministre de suivre son évolution sur le plan scientifique.
jeudi 12 novembre 2009
Nouvelles prisons: Gardez les pieds sur terre, Monsieur le Ministre !
Ce jeudi 12 novembre, en séance plénière du Parlement le député MR Jean-Luc Crucke interpellait le Ministre de l'Aménagement du territoire, l'Ecolo Philippe Henry sur l'avancement du dossier des 3 prisons que le Gouvernement fédéral a prévu de construire en Wallonie.
Sur les trois emplacements, deux, Marche et Leuze-en -Hainaut avait reçu l'aval des autorités locales. Mais voilà que le nouveau Ministre remet en cause le choix des localisations pour des raisons "diffuses" -estime Jean-Luc Crucke; Pendant ce temps, côté flamand, les dossiers sont ficelés. "Revenez les pieds sur terre- conseille le député libéral au Ministre Écolo - et faites preuve de loyauté par rapport aux projets pensés par vos prédécesseurs. "
VOIR LA SEQUENCE DU JT DE RTL/TVI: ICI
Libellés : Crucke, Henry, Leuze-en-Hainaut, Parlement wallon, Prisons
Didier Reynders et Stefaan De Clercq à Tournai pour confirmer la construction d'un nouveau palais de Justice
S'il y avait un heureux dans la salle du Palais, en 12 novembre 2009, nul doute qu'il s'agissait du député Jean-Luc Crucke. Comme n'ont pas manqué de le rappeler les différents intervenants à la tribune, il fut l'un des premier à plaider pour la construction d'un nouveau palais en site propre en lieux et place des nombreux emplacements- bien souvent exigus ou inadaptés- qui habitent aujourd'hui les services de la Justice à Tournai.
>>>> VISIONNER LA SEQUENCE NO TELE ici: http://www.notele.be/index.php?option=com_content&task=view&id=7996&Itemid=31
Libellés : cathédrale Tournai, Didier Reynders, jean-luc crucke, Palais de Justice de Tournai
La future prison de Leuze remise en question ?
Ce jeudi 12 novembre, en séance plénière du Parlement wallon, le député Jean-Luc Crucke interrogera le Ministre Henry , Ministre de l'Amènagement du territoire sur le dossier des nouvelles prisons.
Alors que le dossier au niveau fédéral est quasi bouclé,que les communes de Leuze et de Marche ont marqué leur accord, le député MR craint un blocage provenant du Ministre Écolo.
Didier Reynders, Ministre des Finances en charge du Fond des Bâtiments qui inaugurait ce matin une nouvelle aile de la prison de Tournai en compagnie son homologue, le Ministre de la Justice, Stefaan De Clercq insiste lui aussi sur la nécessité d'une collaboration du Gouvernement Wallon
Libellés : Crucke, Leuze-en-Hainaut, Prisons