Bracelet éléctronique: le centre national de surveillance electronique reprend du galon
Nous savons que le règlement du problème pénitentiaire ne se passera pas seulement par une augmentation du nombre de places dans les prisons, mais aussi par le recours à des mesures alternatives, dont la surveillance électronique. En cinq ans, nous sommes passés de 280 à 612 surveillances électroniques, ce qui est encore nettement insuffisant.
Dans la réponse qu'il apporte à ma question, ce 20 Mai en Commission de la Justice de la Chambre, le ministre Jo Vandeurzen confirme son intention de développer ce type de surveillance. Pour ce faire il entend renforcer les contrôles en vigueur. Le rôle de coordination de la surveillance électronique échappera dorénavant aux maisons de justice au profit du Centre national de surveillance électronique.
Vu l'explosion du nombre de demandes de surveillance électronique, une extension du cadre du personnel s'impose. Des examens auront lieu à l'approche des grandes vacances.
Le CNSE pourra faire appel aux services de police sera à nouveau prévue.
Libellés : bracelet electroniques, prison
1 commentaires:
Si mes calculs sont justes, un détenu surveillé par bracelet électronique touche davantage qu'un chômeur cohabitant.
Car il permet à l'Etat de faire une économie substantielle.
Puis-je avoir un commentaire de votre part à ce sujet?
Merci.
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